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Adresse : Association Arethuse Derhoideux 22600 Saint-Caradec
arethuse@neuf.fr
Site internet : http://arethuse.neuf.fr
Restauration des caves de Crénénan à PLOERDUT (Morbihan).
Infos :
* (pour info) Journée patrimoine de pays : "La pierre, pierre brute, pierre taillée"Conférence débat, film vidéo : Les techniques de construction et de restauration de talus en pierre sèche animé par Jean Le Gall, président de l'association Aréthuse : Dimanche 20 juin 2004 à 15 h 30 au Manoir du Kreisker - bourg de Saint Avé.
COMMUNIQUE du 23/12/02 :
L'association Aréthuse (http://perso.wanadoo.fr/arethuse/) fait savoir que sur la départementale D1, un panneau de signalisation représente deux caves du village de Crénénan en Ploërdut (Morbihan), la cave de 1840 et le bâtiment construit en pierre sèche en avril 1996 sous la direction de Gilles Fichou. (Avec le même point de vue qu'une des 8 cartes postales éditées sur les caves de Crénénan). La signalisation bilingue français-breton ne respecte pas le nom du lieu Crénénan, modifié dans le texte rédigé en français par un K et la suppression d'accent sur les "e". L'association fait les démarches pour le changement du panneau auprès de l'Office de la langue bretonne à Carhaix responsable de la signalisation bilingue. Crénénan s'écrit avec un C depuis 1426.
Restauration de la cave au poteau EDF à Crénénan en Ploërdut ( Morbihan ) :
Gwénaël Le Denmat du journal Le Télégramme a fait publier le 21 août 1999 en page départementale, une photo couleur sur laquelle figure la dernière cave restaurée à Crénénan en Ploërdut.
Le chantier de restauration était prévu du 7 au 18 juin 1999 avec 10 étudiants de l'Université de Bretagne sud à Lorient, section histoire, patrimoine et archéologie. Si la durée des travaux de restauration n'a pas dépassé les 600 heures de travail prévues, celle-ci s'est prolongée dans le temps comme nous le verrons ci-après.
Pour raison administrative, huit étudiants suspendaient leur participation dès le mardi 7 pour ne revenir que le lundi 13 juin.
Une dalle de 28O kilos était hissée à huit personnes juste avant le départ des étudiants le 18 juin. Ceux-ci ne pouvaient rattraper une centaine d'heures de travail que représentait leur absence .
Le 22 juin, les élèves de l'école primaire de Guéméné-sur-Scorff en sortie scolaire ont découvert une restauration de voûte inachevée à la hauteur du linteau, l'encorbellement devant fermer une brèche de 1,20 m. de large sur 2,50 m. de long. Après visite des autres caves et de la chapelle du site, quelques enfants se sont initiés à la pose de quelques dalles calées de petits cailloux.
Avec de nombreux volontaires, Jean Le Gall a terminé la restauration de la cave le 18 août grace à Armand Le Bozec, qui a hissé de nombreuxes dalles avec la fourche de son tracteur. La voûte se fermant par quatre dalles de 120 à 25O kg.
Le Conseil municipal de Ploërdut n'avait pas budgétisé les travaux reportés pour l'an 2000. L'association Aréthuse a donc pris l'initiative d'éditer une série de de 8 cartes postales afin de financer ce projet. (2O F le lot, 3 F l'unité + port.)
Par Jean Le Gall
En 1996, un bâtiment voûté a été entièrement construit en pierre sèche à l’emplacement d’une cave ruinée située près de la chapelle Notre Dame de Crénénan en Ploërdut. Cette opération avait comme but de former des personnes pour restaurer la voûte de pierres montées en encorbellement des caves. Les recherches du Centre d’études et de recherches sur l’architecture vernaculaire (C. E. R. A . V.), démontrent que les caves sont du XIXe siècle avec une dernière construite en 1840 pour l’usage d’un fermier.
C’est à la demande de M. Christian Lassure, Président du C.E.R.A.V., que l’auteur de ces lignes a fait les recherches d’archives qui lui ont permis de trouver des actes inédits concernant ces bâtiments dont les relevés d’architecture avaient été faits en 1987. Les bâtiments-caves de Crénénan servent toujours de caves à boissons le jour du pardon de la chapelle qui a lieu le premier dimanche qui suit le 15 août.
Le titre de l’ouvrage "Les caves à boissons du Pardon de Notre Dame de Crénénan en Ploërdut (Morbihan) : étude architecturale et archivistique" par Christian Lassure et Jean Le Gall (1), a été publié au troisième trimestre 1995 et était la première contribution inédite sur l’histoire de bâtiments mythifiés, puisque M. Philippe Guigon vient de renvoyer au XIXe siècle un bâtiment construit en avril 1996 comme nous allons le démontrer ci-après.
Bâtiment construit en pierre sèche à Crénénan en avril 1996
Jean Le Gall est l’auteur du seul bâtiment construit en pierre sèche à Crénénan en Ploërdut, œuvre protégée par le Code de la Propriété intellectuelle :
Article L. 111-1 : L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre du seul fait de sa création d’un droit de propriété incorporelle exclusif et opposable à tous. Ce droit comporte des attributions d’ordre intellectuelle et moral ainsi que des attributs d’ordre patrimonial.
Dès juin 1995, Jean Le Gall a émis l’idée, auprès de la commune de Ploërdut et du Comité de restauration du site et de la chapelle Notre Dame de Crénénan, de reconstruire une cave ruinée, il a établi les plans et les directives, supervisé la logistique par de nombreuses correspondances pour que tout soit prêt en avril 1996, personnel, matériel et matériaux.
Monsieur Gilles Fichou de Villeveyrac (Hérault), spécialiste des restaurations de ce type de bâtiment avait accepté d‘assurer la direction technique du chantier.
Tout en participant aux travaux à titre bénévole, Jean Le Gall en a fait le reportage photo et vidéo et réalisé en avril 1997, le film vidéo "La cave de Crénénan – reconstruction en pierre sèche – avril 1996".
La cave ruinée cadastrée No 297 en 1842
Les fondations de cette cave ruinée maçonnée de terre ayant été rasées au tracto-pelle en 1995, il n’était pas possible d’en connaître les fondations. La matrice cadastrale de 1842 mentionnait seulement que le bâtiment cave avait une surface de 10 centiares et un revenu fiscal de 0,04 Francs. L’idée originale a donc été de construire un édifice en pierre sèche à Crénénan.
Simple calcul de niveau primaire :
Seuls trois caves maçonnées de terre sont sur le plan cadastral de 1842, les caves n° 297, 303 et 336.
Monsieur Terrien décide de construire en 1840 une cave pour son locataire : 3 + 1 = 4 caves maçonnées de terre.
La cave n° 297 se ruine : 4 – 1 = 3 caves étudiées par le CERAV
M. J. Le Gall fait construire un bâtiment en pierre sèche aux dimensions de la cave au poteau EDF (336) : 3 + 1 = 4 édifices dont la voûte de pierres est montée en encorbellement. Trois maçonnés de terre et un seul en pierre sèche.
Bâtiment construit en pierre sèche en avril 1996
Le bâtiment construit en pierre sèche a nécessité plus de 100 mètres cubes de pierres et dalles brutes de carrière. Les dimensions intérieures devant être celles de la cave au poteau EDF, soit 2,40 m sur 2,70 m. L’épaisseur des murs a été fixée à un mètre pour la mise en œuvre des pierres posées à sec. La voûte de pierres montées en encorbellement commence à se former à 1,35 m. du sol pour se fermer à 3 mètres de hauteur avec de longues dalles montées en boutisse. De même, une pente douce était aménagée pour permettre l’accès aux personnes à mobilité réduite.
Cette "œuvre de l’esprit" avait pour objet de maîtriser la restauration d’une voûte de pierres sèches montées en encorbellement avec des personnes en formation "maçonnerie et espaces verts", placées sous contrat emploi solidarité (C.E.S.) par l'association Plan rural d’insertion par l’économie (P.R.I.E.) du Faouët (Morbihan).
Du 9 au 19 avril 1996, des bénévoles et les stagiaires se sont succédés sur le chantier, pour terminer en 700 heures le seul bâtiment construit en pierre sèche à Crénénan. Ceci a le mérite d’avoir été fait par des hommes vivants en 1996 et non au Moyen Âge.
Jean Le Gall a pris connaissance de la production littéraire de Monsieur Philippe Guigon sur les "bâtiments de Crénénan". Ce dernier a été informé que la cave construite en 1840 était en cours de restauration.
Par courrier du 4 juillet, M. Guigon remerciait de l’avoir "prévenu de la restauration d’une cave de Crénénan, je le savais par Le Télégramme. Il est effectivement agréable de voir un travail de recherche déboucher sur du concret ".
M. Guigon se trompe déjà. L’article du Télégramme du 7 mai (4)de M. Claude Lasbleiz ne concerne que le bâtiment construit en avril 1996. La restauration annoncée concerne la cave construite en 1840, représentée sur la couverture de l’étude (1) que M. Guigon a acquise auprès du CERAV dès le 12 février 1996.
Au colloque de mars 1993, édité en 1994 (5), M. Guigon mentionne : "les matériaux mis en œuvre peuvent être de petites plaquettes ou des moellons allongés non liés par du mortier ou de la terre. C’est le cas à Gouesnarc’h, Lanrivoaré et Ploërdut".
En 1998, dans son ouvrage (6) "Les églises du haut Moyen Âge en Bretagne", tome 2 , dans le chapitre des petites fondations monastiques page 21, il se cote 161 pour rappeler son ouvrage (5) - Guigon, 1994/b (5) - puis fait une insertion dans le texte pour mentionner l’œuvre de Jean Le Gall : Les matériaux mis en œuvre peuvent être de petites plaquettes ou des moellons allongés, en pierre sèche à Gouesnarc’h et pour une " cave " de Ploërdut, les trois autres ayant des murs liaisonnés avec de la terre comme à Lanrivoaré. Dix lignes plus loin, il insère : Les "caves de Ploërdut paraissent appartenir au XIXe siècle, comme peut être celle de Lanrivoaré ".
Notons de suite qu’en insérant " une cave " dans le texte, M. Guigon reconnaît l’édification du bâtiment construit en pierre sèche en 1996 et que contrairement aux 1204 références qu’il place sur 104 pages traitant des fondations monastiques d’origines, il ne trouve pas le moyen de nommer Jean Le Gall. L’étude archivistique sur "Les caves à boissons du pardon de la chapelle Notre Dame de Crénénan" n’est portée qu’en cote 186 en bas de la page 23, Lassure et Le Gall, 1995.
Au colloque de 1993 (5), Monsieur Guigon ne pouvait que prétendre : "l’âge et la destination de ces édifices restent discutés mais il serait étonnant qu’ils soient antérieurs aux temps modernes. Ils ont pu servir d’abris pour les pèlerins"
Dans son ouvrage de 1998 (6), le texte passe de trois à "quatre petits bâtiments en pierre sèche recouverts de terre. Ces structures sont placées sur trois des quatre angles du placître : de plan pratiquement carré, 3 m de coté, elles sont construites en plaquettes de schistes et voûtée par une coupole en tas de charge (*185 Le Couëdic et Trochet, 1985, 37) d’une hauteur maximale de 2,50 m. Il paraît très vraisemblable que ces constructions servirent de caves à boissons pour le pardon de Notre Dame de Crénénan et qu’elles furent édifiées au XIXe siècle seulement (186 - fig. 12)".
Au cours de sa conférence du mars 2000 publiée en 2001 par la Société polymathique du Morbihan (7), le texte devient : " Ainsi les quatre constructions conservées dans le placître de ND de Crénénan en Ploërdut, en pierre sèche recouverte de terre, de plan pratiquement carré (3 de côté et haute de 2,50 maximum), ont pu servir de caves à boissons pour le pardon et être édifiées seulement au XIXe siècle".
Oeuvre de Jean Le Gall, le seul bâtiment construit en pierre sèche se trouve inclus aux édifices maçonnés de terre édifiés vers 1840 et formant pour M. Guigon un ensemble de quatre bâtiments en pierre sèche du XIXe siècle qu’il présente dans un chapitre sur les fondations monastiques !
En fin de ce texte, une bibliographie sommaire des œuvres de M. Guigon qui s’excuse de ne pouvoir nommer tous les ouvrages de références. L’auteur d’un bâtiment construit en 1996, soit seulement quatre ans avant la conférence, ne pouvait donc pas être cité !
Le refus de citer un auteur transparaît dans un ouvrage publié par le Centre Régional d’Archéologie d’Alet (C.e.R.A.A) réalisé sur fonds publics, Ministère de la Culture, la Fondation Langlois, le C.e.R.A.A., le Conseil général d’Ille-et-Vilaine et la ville de Saint-Malo.
Voilà une belle atteinte au droit d’auteur selon l’article L 121-1 du CPI :
L’auteur jouit du droit au respect de son nom, de sa qualité et de son œuvre. Ce droit est attaché à sa personne. Il est perpétuel, inaliénable et imprescriptible. Il est transmissible à cause de mort aux héritiers de l’auteur.Quelques observations :
1. - Il faudra donc que M. Guigon explique comment il place : "quatre petits bâtiments sur trois des quatre angles du placître ". Il les empile ? De même le pratiquement carré de 2,40 sur 2,70 m avec la hauteur de 2,50 m maximum alors que la voûte du bâtiment en pierre sèche est à 3 mètres et celle de la cave de 1840 à 3,20 m.
2. – Sa phase : " Les quatre constructions conservées dans le placître… " pourquoi pas dans l’alcool puisqu’il s‘agit de caves à boissons ?
3. - Les pierres de Crénénan ne sont pas des "petites plaquettes de schiste" mais de la granulite feuilletée entre 10 et 15 centimètres d’épaisseur dont la moyenne de la masse posée variait de 40 et 150 kilos. A 2,72 grammes le centimètre cube, cela fait 270 tonnes les 100 mètres cubes de pierres manipulées à 10 personnes pendant deux semaines.
4. - La photo de la cave de Crénénan (fig. 12 page 25) est celle qui a été faite avant la restauration du bâtiment en 1995 alors qu’elle était encore couverte d’arbustes. C’est dire les difficultés de M. Guigon pour interpréter et analyser les informations qu’il reçoit par courrier, en lisant son journal et les revues du CERAV auxquelles il est abonné.
5. - Deux photos de bâtiments (fig. 9 et 10) se trouvant sur des propriétés privées sont publiées sans autorisation des propriétaires qui s’opposent aux visites.
Les compilations de M. Guigon seront reprises ensuite par des auteurs qui recopieront pendant de longues années ses erreurs.
Restauration de la cave construite en 1840 - juillet 1996
L’étude archivistique de Jean Le Gall (1) a permis de démontrer que ce "bâtiment-cave" avait été construit pour l’usage exclusif du locataire de Monsieur Christophe Terrien (bail notarié du 30 janvier 1840 "découvert en cote EN011924" aux Archives départementales du Morbihan reproduit textuellement (1 - page 15).
Jean Le Gall a donc poursuivi les démarches pour la restauration de cet édifice prévue en juillet 1996 afin que l’équipe des stagiaires du PRIE soit mieux équipée et organisée avant l’arrivée de Monsieur Gilles Fichou de Villeveyrac, correspondant du CERAV et bénévole prenant sur ses jours de congé la direction technique du chantier.
L’étude architecturale de M. Christian Lassure (1) démontre que ce bâtiment qui n’était pas sur le plan cadastral de 1842 a bien été construit selon le système métrique avec une porte d’un mètre de large, les murs de 0,70 m à la base et les dimensions intérieures, largeur : 2,70 m longueur : 3,20 m Hauteur : 2,70 m. La dégradation de l’arrière linteau de porte et la déformation de la voûte démontraient une mauvaise maîtrise de la technique par les maçons de 1840.
Au démontage du bâtiment maçonné de terre, ont été trouvées des pierres sculptées provenant du clocher de la chapelle qui s’est ruiné en 1838. Dans la niche de la paroi gauche, le maçon constructeur avait gravé la date de la construction, le 1, le 8 et un 4 retourné, confirmant les éléments trouvés aux archives par Jean Le Gall. Au remontage, les pierres sont maçonnées au mortier de chaux jusqu’au dessus du linteau de porte pour terminer la voûte en pierre sèche. Les pierres provenant de la carrière étant plus épaisses que les pierres d’origine qui ne pouvaient plus être utilisées, la voûte se ferme à 3,20 m de hauteur.
Les travaux effectués en 500 heures de travail dont 130 par des intervenants bénévoles, ont été photographié et filmé par Jean Le Gall qui a informé la presse, participé à des émissions de radio et diffusé l’information auprès de nombreux correspondants tels que Messieurs Giot et Guigon.
Restauration de la cave au poteau EDF – juin à août 1999
La dénomination de cette cave est due au poteau EDF posé à 20 centimètres de l’édifice en 1954 à l’électrification du village de Crénénan. Des projets d’effacement de réseau aérien sont possibles près des sites remarquables. La restauration du bâtiment avait pour préalable le retrait du poteau EDF proposé par Jean Le Gall dès 1996 mais le dossier d’octobre 1997 étudié et chiffré a été reporté à une date ultérieure. De même la restauration de ce bâtiment public à l’accès dangereux était reportée à l’an 2000 par la commune de Ploërdut.
Dix étudiants de l’Université de Bretagne sud de Lorient s’étant inscrits pour restaurer ce bâtiment, Jean Le Gall a fait éditer une série de huit cartes postales de ses photos personnelles sur le site de Crénénan pour couvrir les frais de l’opération prise en charge par l’association Aréthuse.
Depuis plus de 20 ans, le linteau de porte de cette cave était à terre devant son entrée avec de longues dalles qui basculaient dans le vide. Après démontage de la voûte et des murs jusqu’au sol, les murs et la voûte de pierre ont été remontés au mortier de chaux jusqu’au linteau pour être terminés en pierre sèche. La voûte est fermée à 2,70 m. de hauteur par quatre dalles de 150 à 250 kilogrammes.
Avec les étudiants, la participation de bénévoles et des membres du Comité de restauration du site et la chapelle Notre Dame de Crénénan, les élèves de l’école publique de Guémené-sur-Scorff, la durée des travaux a été de 600 heures.
L’auteur de ces lignes a fait appliquer aux différents volontaires les notions transmises par Monsieur Gilles Fichou tout en essayant de médiatiser les différentes opérations de mise en valeur du site de Crénénan en Ploërdut.
Il est particulièrement regrettable que Monsieur Philippe Guigon ait mis sous silence ces différentes opérations récentes.
Questions.
Monsieur Philippe Guigon est-il autorisé par tous les auteurs et ayants droits à publier les dessins, croquis et photos qui illustrent ses ouvrages ?
Comment peut-il nous raconter des histoires sur " Les églises du haut Moyen Âge " puisqu’il a utilisé la même méthode de substitution pour l’étude du CERAV sur le pseudo " ermitage de saint Hervé " en Lanrivoaré (Finistère) (2 et 3), cote renvoyée en bas de page avec sur la même ligne le nom d’un mythomane, Monsieur l’abbé Joseph Irien. Affaire que nous évoquerons prochainement.
Conclusion.
Monsieur Jean Le Gall pense que M. Philippe Guigon fait de la copie déguisée et porte atteinte au droit d’auteur de Jean Le Gall et de Christian Lassure en ce qui concerne leurs contributions sur l’histoire des personnes impliquées sur les lieux bretons étudiés : Crénénan en Ploërdut et Costouarné en Lanrivoaré.
Références : Code de la Propriété intellectuelle : Articles L 111-1 et suivants.
1. - Christian Lassure et Jean Le Gall, 1995 – les caves à boissons du pardon de Notre Dame de Crénénan en Ploërdut (Morbihan) étude architecturale et archivistique. Dossier du C.E.R.A.V. " étude et recherches d’architecture vernaculaire n° 15, 1-18.
2. - Christian Lassure, 1993 – Le pseudo " ermitage de saint Hervé " en Lanrivoaré (Finistère) étude architecturale et comparative. L’Architecture vernaculaire, t. XVII, 35-53.
3. - Jean Le Gall, 1994 – Le pseudo " ermitage de saint Hervé " en Lanrivoaré (Finistère) étude archivistique. L’Architecture vernaculaire, t. XVIII, 5-27.
4. - Jean Le Gall, 1996 – Bâtiment construit en pierre sèche à Crénénan en Ploërdut du 9 au 19 avril 1996 – Le Télégramme du 7 mai 1996 Article de M. Claude Lasbleiz et autres publications.
5. - Philippe Guigon, 1994 – Les influences irlandaises sur l’architecture religieuse bretonne du haut Moyen Âge à l’époque romane : mythe ou réalité. Actes du colloque de Rennes (20-31 mars 1993) 193-215.
6. - Philippe Guigon, 1998 – Les églises du haut Moyen Âge, t. II, Les Dossiers du CeRAA, supplément U, 230 pages.
7. - Philippe Guigon, 2001 – L’archéologie du haut Moyen Âge dans le vannetais, Société Polymathique du Morbihan, T. CXXII, 19-45.
9. - Bernard Merdrignac, 1999 – Comptes rendus bibliographiques des ouvrages de M. Philippe Guigon (6), TLXXVII, Mémoires de la Société d’histoire et d’archéologie de Bretagne 553-555
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